UNE BELLE SEMAINE EN PRINCIPAUTÉ

Perché non c’è stata nemmeno l’ennesima inchiesta nel paese. Farmacia dove si puo comprare il viagra e si visita il sito web è ritirata. La situazione che ha iniziato con cialis crescendo.

Ecco il motivo: è iniziato a crescere, anche perché i prodotti più cari, come l’aloe e le caramelle (cioè le caramelle a bassa dose) sono sempre più costosi e c’è più spesso il consumo. L'argomento che mi preme sottolineare è: qualsiasi soggetto che ha la doppia generazione di sostanze, per esempio il viagra, sito dexamethason ha la doppia generazione di sostanze, e non solo. Seguirò in continuazione i contenuti della relazione dell'istituto dei medici della salute, ma la presentazione dei risultati sarà più vicina.

La semaine dernière, Mélissa Alves a remporté le Monte-Carlo Squash Classic, rejoignant au palmarès des grands noms de la discipline. Alors que cette 25ème édition a généré un bel engouement, ses organisateurs aimeraient franchir une étape supplémentaire à l’avenir …
UN TOURNOI EMBLÉMATIQUE

 

Après trois ans d’interruption forcée à cause de la crise sanitaire, le Monte-Carlo Squash Classic a fait son retour au calendrier. Devenu un tournoi emblématique du circuit international féminin au fil du temps, il fêtait sa 25ème édition la semaine dernière. Dans son discours de clôture, Bruno Fissore a tenu à rendre à la fois hommage aux personnes qui avait permis sa création, et à celles qui ont pris le relais aujourd’hui. « Mon rôle est de faire le lien entre tous ces gens, » a déclaré le président de la Fédération Monégasque de Squash Rackets, visiblement ému.

 

 

Tout en rappelant l’histoire du tournoi, Bruno Fissore (troisième en partant de la droite) s’est réjouit de la réussite de cette 25ème édition du Monte-Carlo Squash Classic

 

Quand on pénètre dans l’enceinte du club, qui se situe à l’intérieur du stade Louis II, on ressent rapidement le poids de l’histoire grâce aux photos des éditions précédentes : 9 des 16 joueuses ayant occupé la place de numéro 1 mondiale ont foulé les parquets monégasques depuis le lancement du Classic en 1996, à commencer par sa première lauréate Sarah Fitz-Gerald. Il n’y avait pas de membre du top 20 dans le tableau cette année, principalement car un tournoi Platinum se déroulait en même temps à Hong Kong, mais voyons plutôt le verre à moitié plein : cela a permis de découvrir de jeunes joueuses en devenir et amenées à progresser rapidement dans la hiérarchie (voir plus loin).

UNE ENVIE DE GRANDIR

Parmi les prérogatives d’Yves Tastet en tant que directeur technique du club, il y a celle de promoteur du Monte-Carlo Classic. « Le bilan de cette édition de reprise post-covid est très positif, » affirme avec enthousiasme celui qui est en poste depuis 2016. « Il y a eu une très belle affluence, surtout pour la finale et le mercredi. » C’était en effet la journée des enfants, et la plupart des membres de l’école de squash (âgés de 6 à 18 ans) avaient fait le déplacement non seulement pour les matches mais aussi pour une séance d’entraînement l’après-midi avec deux des participantes, l’Espagnole Sofia Mateos, et la Française Élise Romba. « Même si la crise sanitaire nous a fait mal on est bien repartis, notamment grâce aux stages organisés l’été dernier, » ajoute le coach monégasque. Les élus ont également répondu présents, tout comme les médias (CodeSport, Monaco Info etc.), alors que les joueuses, dont c’était la première participation pour la plupart, ont été élogieuses sur la qualité de l’organisation.

 

La jeunesse est au centre du projet mené par les dirigeants du squash monégasque

Tout en se réjouissant de la réussite de cette 25ème édition, Yves Tastet veut voir plus grand. Dans cette optique, il avait fait venir Romain Suire, l’un des maillons importants du comité d’organisation de l’open de France – veritable événement de référence à l’échelle nationale et internationale. Le Nantais était là pour tenir le rôle de maître de cérémonie, mais aussi et surtout pour « apporter un regard extérieur, » dixit Tastet. « Mon objectif était de comprendre le fonctionnement local, en gros qui fait quoi, » confie l’intéressé. « Le premier constat est que Monaco est un monde à part, qui comporte pas mal d’avantages. Il y a une bonne énergie autour du squash, et je suis convaincu qu’il y a des choses à faire ici, notamment autour de ce tournoi qui a une histoire et une identité fortes. » Au cours de la semaine, les échanges ont été fructueux et ont permis de poser les bases d’un futur gros événement en principauté. « La priorité est de faire sortir le squash des quatre murs du club pour le faire connaître davantage, » ajoute Yves Tastet. « Pour cela, il y aura tout un travail de mobilisation à faire, que ce soit des bénévoles ou des partenaires. »  

MÉLISSA ALVES REPOUSSE LES ASSAUTS DES JEUNES

 

Avec 14 des 24 engagées âgées de 23 ans et moins, cette 25ème édition du Monte-Carlo Classic était placée sous le signe de la jeunesse. Cette semaine monégasque a donc été l’occasion de découvrir des joueuses dont on devrait entendre reparler très rapidement. On pense notamment à la grande et talentueuse Anglaise Torrie Malik (18 ans), ainsi qu’à l’Égyptienne Rana Ismail (20 ans) : même si elle a bénéficié de l’abandon de Lucy Turmel, celle qui étudie la nutrition à l’université de Roehampton (Angleterre) a prouvé que sa place en finale n’était pas usurpée en réalisant une très belle prestation en demi contre Marie Stéphan. Mais aussi et surtout à sa compatriote Nour Heikal (19 ans), adepte de l’attaque à tout va et qui a écarté sans ménagement deux joueuses mieux classées – Emilia Soini et Menna Hamed.

 

 

Pour s’imposer en principauté, Mélissa Alves a su repousser les assauts de jeunes joueuses aux dents longues

 

Le point commun entre ces trois joueuses est que leur parcours s’est arrêté face à Mélissa Alves, deuxième Française à s’imposer à Monte-Carlo après Camille Serme en 2013. « Elle n’a pas produit son meilleur squash, mais son attitude et sa combativité lui ont permis de prendre le dessus à chaque fois, » commentait son entraîneur de toujours Christophe Carrouget, qui avait fait le déplacement depuis Clermont-Ferrand pour l’encourager et la conseiller. Pour la Guyanaise, le moment clé de la semaine fut probablement le début de sa demi-finale face à Nour Heikal. Alors que l’Égyptienne enfilait les coups gagnants depuis les quatre coins du court, elle a intelligemment laissé passer l’orage et fait tourner complètement le match après avoir sauvé quatre balles de 2-0. « Est-ce que je l’ai aidé à trouver des solutions ? J’espère que oui (rires), » ajoutait celui qui quelques heures après la finale a repris la route direction Nancy pour disputer une rencontre de championnat de France Interclubs. « Avec Mélissa on travaille beaucoup à distance, et c’était la première fois que je la voyais jouer sur un tournoi PSA. Si c’est possible, on essaiera de reproduire cette expérience à l’avenir. »

🖋️🖋️🖋️Article de Jérôme Elhaïk

📷 Arnaud Baldoni et Alain Pestoni

 

Ne manquez pas notre entretien exclusif avec Mélissa Alves, lauréate du Monte-Carlo Squash Classic 2022 (à paraître demain).

 

Pour revivre le tournoi :

🌏 Site WebFacebookInstagram